La bibliothèque de l'ETH annonçait hier dans un communiqué la mise en ligne de 54'000 cartes postales de la collection de l'industriel suisse Adolf Feller (1879-1931).
Ce passionné de cartes postales a réuni sa collection durant ses déplacements professionnels comme représentant de commerce. Comme l'explique Susanna Züst, petite-fille de Adolf Feller: «Die Sammelleidenschaft meines Grossvaters entsprach wohl auch dem Zeitgeist – es herrschte eine globale Aufbruchstimmung, die sich auch darin manifestierte, dass es ein grosses Bedürfnis nach Bildern aus aller Welt gab».
Les cartes postales, données à la Stiftung Landschaftsschutz Schweiz, ont été numérisées, transcrites, indexées, et mise à disposition du public sur le serveur d'images de l'ETH.
Le communiqué, repris par le Tagesanzeiger et la NZZ, a généré un tel traffic que le serveur de l'ETH a dû être mis hors service pour quelques heures.
On se réjouit de cette forte "demande d'histoire" des internautes suisses, qui assure le succès de sites comme notrehistoire.ch ou archives.tsr.ch. Et bien sûr on se rappelle le crash d'Européana à son lancement.
En attendant - comme l'indique le message d'erreur ci-dessus sur la page de E-pics - une partie des cartes postales sont accessibles via ... Google images !54'000 cartes postales de Suisse en ligne, ou presque...
La bibliothèque de l'ETH annonçait hier dans un communiqué la mise en ligne de 54'000 cartes postales de la collection de l'industriel suisse Adolf Feller (1879-1931).
Ce passionné de cartes postales a réuni sa collection durant ses déplacements professionnels comme représentant de commerce. Comme l'explique Susanna Züst, petite-fille de Adolf Feller: «Die Sammelleidenschaft meines Grossvaters entsprach wohl auch dem Zeitgeist – es herrschte eine globale Aufbruchstimmung, die sich auch darin manifestierte, dass es ein grosses Bedürfnis nach Bildern aus aller Welt gab».
Les cartes postales, données à la Stiftung Landschaftsschutz Schweiz, ont été numérisées, transcrites, indexées, et mise à disposition du public sur le serveur d'images de l'ETH.
Le communiqué, repris par le Tagesanzeiger et la NZZ, a généré un tel traffic que le serveur de l'ETH a dû être mis hors service pour quelques heures.
On se réjouit de cette forte "demande d'histoire" des internautes suisses, qui assure le succès de sites comme notrehistoire.ch ou archives.tsr.ch. Et bien sûr on se rappelle le crash d'Européana à son lancement.
En attendant - comme l'indique le message d'erreur ci-dessus sur la page de E-pics - une partie des cartes postales sont accessibles via ... Google images !